L’assurance-vie permet de diversifier ses actifs, en maîtrisant son niveau de risques et en garantissant le remboursement de son épargne, tout en conservant sa disponibilité.
C’est un outil de prévoyance pour soi-même puisque, au terme du contrat, l’épargne constituée revient au bénéficiaire assuré en cas de vie (en général soi-même) et que l’épargne reste disponible pendant la durée du contrat.
C’est également un outil de transmission puisque, en cas de décès du souscripteur assuré avant le terme, le capital revient au bénéficiaire désigné avec une fiscalité de faveur notamment lorsque ce dernier réside en métropole.
C’est donc un excellent support de placement de son épargne, auquel s’ajoute une fiscalité avantageuse en matière de succession quand le ou les bénéficiaires résident en métropole.
Reste que la désignation du bénéficiaire revêt une importance particulière dans la mesure où l’assurance-vie est juridiquement hors succession et donc non soumise à certaines règles successorales du rapport ou de la réserve héréditaire.
Il convient donc de se méfier de la clause-type des contrats d’assurance (en général bénéficiaire en cas de décès : mon conjoint, à défaut mes enfants), qui ne correspond pas nécessairement à la volonté du souscripteur. Il faut réellement s’interroger sur cette clause bénéficiaire qui devra être rédigée avec soin, éventuellement dans un testament.
Nous sommes à votre disposition pour vous expliquer les particularités de l’assurance-vie et vous assister dans la rédaction des clauses bénéficiaires.